lundi 9 juillet 2012

France, Aigues-Mortes - Monton

Nous restons 6 jours à Aigues-Mortes, mes parents (c'est Jean-Da qui écrit) profite de notre halte pour venir nous trouver durant 4 jours.

Visite touristiques de la tour de Constance avec les parents de Jean-Da (merci pour votre cou-cou à Aigues-Mortes)

Le dimanche 24 juin, nous remontons en selle avec enthousiasme de retrouver notre statut de nomade. Nous passons au Saint-Marie de la Mer et roulons depuis la jusque à Beauduc en suivant  la plage. Il etait impossible pour nous de ne pas dire aurevoir à Beauduc, cette langue de sable qu'on affectionne tellement. Nous croisons la bas HD, Yves et Alex de l'equipe ou de la team des soudeurs. Etant parti sans baptiser nos velos et notre matos, c'est par un air iodé et le spirit du lieu qu'ils l'ont été. Au REVOIR BEAUDUC... c'est le coeur lourd que je quitte la plage après une nuit magique passé la bas. Au matin nous luterons toute la journee contre le mistral pour arriver au soir à Arles chez Christiane, une amie rencontree à Beauduc il y a quelque annee, qui est egalement amoureuse de ce lieu. L' accueil de toute sa famille  est genereuse.


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Entre les Saintes et Beauduc, entre desert et mer


Notre emplacement No 22, pour la derniére fois avant un petit bout de temps.


Depuis Arles, nous roulons dans les terres pour eviter de bord de mer. Notre itineraire nous emmenera dans les collines provençales sur des petites routes ou des chemins de gravier sous une chaleur soutenue. Nous faisons de longue pause durant la periode chaude de la journee, à l'ombre des pins. Il est arrive que la sieste fut impossible tant les cigales faisaient du bruit.

Notre itinairaire passe par Aix en Provence ou nous faisons une entree dans la ville catastrophique puisque que nous sommes a nouveau sur une semi autoroute a 4 pistes qu'il a fallut traverser dans sa totalite pour en sortir. La sortie de la ville, une fois remis de nos emotions sera beaucoup plus agreable, puisque un scooter s'arrete pour nous inviter à planter notre tente dans son jardin. Joel et Florence nous reserve un accueil incroyable, ils nous mettent a dispo une salle de bain, nous servent un bon petit rosé genereusement et nous invite pour partager avec eux leur souper. La tarte aux lègumes maison de florence restera longtemps gravée dans la mémoire de Léo.
Au matin, lorsque nous nous reveillons, la maison est calme, nous pensons qu'ils sont deja au job, nous dejeunons dans notre coin de jardin et plions nos baggages lorsque nous voyons Joel nous dire " Je vous attends pour le cafe et les croissants". Comment refuser, c'est donc avec 2 petit dejeuners dans le ventre que nous reprennons la route, et avec des croissants dans nos saccoches en prime. Quel luxe. Le dejeuner du lendemain sera donc copieux et nos organismes plus tellement habitués à absorber ce genre de choses auront de droles de réactions, un sacré fou rire... et des improvisations chantées pour le reste de la journée.
Merci Joel et Florence pour ce que vous nous avez offert ce soir là.

Les croissants hallucinogénes, qu'est ce qu'on s'est marrés!!! Merci encore à la génèèrosité de nos hotes de la veille



Depuis Aix en Provence, nous longeons la sainte Victoire, montagne qui a inspiré plusieurs peintres dont Cesane. Les contrefort sont plantès de vignes, AOC s'il vous plait! Nous passons les deux jours suivants sur les petites routes entourés de garrigue qui nous permettent, au soir venu, de trouver sans soucis des coins bucoliques pour poser notre tente. A Saint Maximin, nous visitons la basilique content lee tombeau de Marie Madelène, une atmosphère très serraine se dégage du lieu et le village tout entier semble acceuillant, nous nous y sentons bien. Le jour suivant nous traversons le masif des Morres, c'est dans un paysage sauvage et valonné que nous montons mais bientot le cadeau, on appercoit la mer.

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La Sainte Victoire, enfin un peu de montrée, le plat commencait à nous sembler monotome


Dans la Garrigue au levé du soleil





Dans le masssif des Maurres
Arrivés à Frejus en après midi, nous décidons de rejoindre Cannes traversant le masif des Esterels. Il s agit d une zone protégée qui interdit toute circulation de nuit et tout camping. C est donc avec beaucoup de prudence et de précaution que nous installons notre campement, nous sommes bien cachés. Jean Da s endore rapidement, cependant Leo le reveille, disant que quelqu un rode autour de la tente. Nous entendons des pas lourds autour de nous, et de puissant renifflements. Est ce que ce sont des animaux? La police avec un chien? le klaxon du vélo de Leo retenti, aucun doute, il y a une présence humaine, que veulent- ils? Le gardien du masif veut il nous signaler qu il nous a trouvé? Nous ne bougeons pas. 5 secondes passent et nous entendons des grouinements, ce sont des sangliers qui se promènent on en a tous les deux été quitte pour une bonne frayeur, on a pas fait les malins. Au matin, nous trouvons le pommeau du klaxon maculé de boue mais les vélo toujours en place ( quelle délicatesse!) , ce sanglier pensait il croquer dans une figue bien mure? Il a du etre decu...

Depuis canne, nous suivons la cote, avec ses yoats démesurés et ses hotels. Nous nous établisons au camping,  une nuit a Antibes et uen autre à Menton tant le béton a collonisé les rives de la Méditeranée et ne laisse plus aucun coin sauvage suceptible de nous aceuillir.

Bourricot et Diogène à la mer



 

C est quoi le vrait luxe pour vous? On cuisine sur les plages de Cannes
A Menton ville des citrons et des Oliviers

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